Le désir sexuel de la femme fait partie de ce que Freud appelait « le continent noir » dont la connaissance, tant de ses déterminants que des circonstances qui peuvent l’affecter, reste toujours à approfondir.
Pour l’Association de psychiatrie américaine (APA), le désir sexuel hypoactif est défini comme une baisse persistante ou récidivante ou une absence de fantasmes sexuels et de désir d’activité sexuelle responsable de souffrance marquée ou de difficulté interpersonnelle.
L’existence d’une souffrance est indispensable pour parler de trouble car, s’agissant des troubles du désir sexuel TDS, le repérage de la limite entre le normal et le pathologique s’avère difficile.

Les facteurs personnels cognitifs
Ils sont fonction du contexte socioculturel et religieux dans lequel la femme a grandi; le degré de connaissance et d’éducation sexuelle, l’image de soi, la personnalité de la femme, la dépression, les traitements psychotropes, les traitements contraceptifs oraux, les pathologies associées: (diabète neuropathie, atteinte artérielle, les dysthyroïdies, l’hypertension…), l’âge, la relation avec le partenaire, l’infertilité.
Chez la femme, les hormones influent également sur le désir.
Les œstrogènes, en particulier ont un rôle fondamental sur la libido.
Après un accouchement notamment, l’imprégnation hormonale se modifie et entraîne souvent une baisse de la libido, passagère la plupart du temps. Certaines pilules contraceptives peuvent parfois avoir une action inhibitrice.

La sexualité est un sujet tabou qu’il est parfois difficile d’aborder. Rappelez-vous que la sexualité, au même titre qu’une bonne alimentation, fait partie intégrante d’un équilibre de vie. La recette pour être toujours au top de votre forme sexuelle : une bonne alimentation, quelques compléments alimentaires à base de plantes pour stimuler les sens et la libido, une note d’optimisme et un peu d’activité physique.
Les blocages sexuels peuvent être liés à un manque de vitalité de l’organisme. Une baisse de tonus qui se manifeste par des blocages sur le plan sexuel. 80 % des cas cliniques de baisse de libido sont reliés à des causes psychologiques. Les plantes dites “adaptogènes” peuvent apporter une réponse naturelle à cette baisse de désir. Elles aident le corps à s’adapter à toutes formes de stress en améliorant l’état général de la personne concernée. Elles vont rééquilibrer l’énergie du corps ainsi que le système hormonal et nerveux. Pour un bien-être retrouvé, notamment sur le plan sexuel.

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